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MYSTERE de l'EAU
"UNE",
Au nombre
Des voies directes
Pour atteindre le Divin,
Le Sexe aussi, est un chemin.
Remplace par "Joie", la jouissance,
Par "Pureté", le désir et la concupiscence,
Par "Amour", la convoitise et la lascivité.
Et bannit de tes sens frénésie et avidité.
Maîtrise ta passion et ta sensualité,
Rencontre l'autre à "égalité",
Dès lors, Un & Un
seront Un
Avec
"UN"
HIEROGAMIE ONIRIQUE... (un rêve d'union esoterotico-mystique) Avertissement : la
hiérogamie est la rencontre érotique mystique, le mariage symbolique,
entre l'humain et la divinité (les hindous disent l'union du joyau
(lingam) et du lotus (yoni)). ...Aix en Provence, une tiède nuit du printemps 1998, trois heures vingt-huit le matin. Un
endroit isolé, désertique, des dunes de sable d'or. Un
petit bâtiment carré, entièrement blanc, dans le creux d'une dune qui
limite l'horizon. Je suis seul dans une pièce blanche, assez grande, assis devant un bureau métallique gris-vert, vide à l'exception d'un sous-main en cuir noir, devant moi une armoire métallique de même couleur, également vide, à ma gauche une fenêtre ouverte (la seule je crois de tout le bâtiment) dont la lumière est tamisée par des volets mi-clos, à ma droite, au fond, une porte. Je
n'ai comme vêtement qu'un caleçon de coton blanc. A
quelques mètres, presque devant la fenêtre, une très jeune fille est
étendue sur le ventre, à même le sable d'or, la tête posée sur ses
avants-bras croisés. Elle est blonde, souple, dense, chaude et dorée, elle semble dormir profondément. Je continue à travailler un temps indéfini (je ne sais trop à quoi, mais je suis très absorbé).
Soudain, la porte s'ouvre (toute seule je pense). Elle
paraît avoir quinze ou seize ans au plus et n'est pas très grande, cinq
pieds au maximum. Son
visage, sans aucun artifice, est nimbé par la lumière de ses cheveux d'or,
coupés au carré à hauteur du menton, de forme triangulaire et très
volontaire. Une cicatrice immense, contrastant avec le reste de sa peau, traverse son omoplate gauche et revient en arc de cercle, sillonnant tout le flanc, jusque sous sa poitrine. (Je pense, je sais intuitivement, qu'on lui a ôté le cœur pour la rendre immortelle, et que son sang a été remplacé de la "sève de vie", de l'or vivant liquide). Son
torse est large, son ventre plat, sa taille mince et ses hanches étroites.
Ses attaches sont déliées, fines, délicates. Si elle n'avait ces seins, magnétiques, orgueilleux, on penserait plutôt à un Ganymède androgyne qu'à une jeune fille, en tous cas pas à une "femme". Mais
elle est excessivement féminine, tout en ayant l'air d'un garçon manqué en
pleine adolescence. De fait, elle donne l'apparence d'une athlète de haut
niveau, sans une once de gras, toute en muscles longs, lisses, harmonieux,
sans nœuds ni protubérances disgracieuses. Elle est émouvante comme l'aube attendue d'un jour d'été après une nuit d'amour, magnifique comme Lilith précédant Eve auprès d'Adam, aux premiers temps du paradis... Du pas de la porte, elle me regarde attentivement, portant, telle une reine, l'impudicité provocante de sa jeunesse apparente. Je crois, je pense, je sais, sans doute à cause de son immortalité, de son corps androgyne, qu'elle est Ondine, l'impérieuse, l'indomptable, "Princesse des Elfes Blancs", dont le nom est "Mystère" et le prénom "Fleur d'Or". Je suis sûr qu'elle vit d'amour, d'eau fraîche et de l'air du temps. Son examen minutieux achevé, elle avance tranquillement dans la pièce, sans un mot, me fixant de ses yeux verts, défait l'un après l'autre, de ses mains menues, les nœuds de son maillot, le laissant choir sur le sol dans la foulée, enjambe souplement le bureau, s'assied gracieusement devant moi, pose ses petites mains à plat derrière elle, un peu inclinée en arrière, les jambes à peine écartées. Ses pieds gracieux posés de part et d'autre sur mes cuisses, délicatement cambrés, portent à hauteur de mes yeux deux charmants genoux lisses et ronds, effleurant mes joues. Elle me toise candidement, le visage interrogatif légèrement penché sur la droite. Elle
offre de la sorte à mon regard ébahi, un sexe-fleur impubère, blanc de
neige, lumineux, nacré, presque translucide, et légèrement humide, comme
si les perles de la rosée du matin était restées dessus.
Redressant la tête, ses yeux vert plongent, sans pudeur, mais sans
effronterie aucune, droit dans les miens. Elle dit sur un ton malicieux et
grave à la fois : Je demeure un instant abasourdi, fasciné par le blanc chatoiement du pubis, contrastant avec le brun doré de son ventre surmonté par les globes irréels de ses seins, dont la peau fine, tendue à se rompre, translucide, laisse deviner la marbrure de veines d'or qui pulsent au rythme du sang qui me bat les tempes. L'éclat blanc irisé qui émane du creux intime et la luminescence blanc bleutée qui irradie de sa fleur encore close, au fond du puit d'amour formé par ses cuisses musclées, m'hypnotisent, me subjuguent, totalement. Elle exhale une odeur enivrante, entêtante, opiacée, qui fait chavirer mon âme et mon corps. Très
ému, intrigué, je me penche, frôlant des joues l'intérieur de cuisses
soyeuses qui, suave caresse, font mine de résister, je goûte avec délice,
tendresse et respect, le joyau scintillant de sa féminité, le creux
exquis, fondant, de sa délicate intimité... Dévotion... Elle accepte l'hommage gracieusement, avec plaisir mais sans frémir, comme étant un dû naturel à la princesse ondine qu'elle est. Elle relève alors doucement ma tête, taquine mon visage de ses cheveux d'or fin, goûte ses fragrances délicatement sur mes lèvres, baiser léger de fée, apaise de ses mains fraîches et câlines mes sens enfiévrés. Puis, d'un mouvement preste de ses pieds menus elle fait glisser à terre mon unique vêtement.
Lors, frottant langoureusement, tout son corps contre le mien, elle se
coule au ralenti dans mes bras qui l'accueillent, empalant lentement...,
lentement..., voluptueusement..., son sexe torride, doux comme du pashmina,
aussi velouté qu'un fruit mûr, sur le mien qui l'attend avide, impatient,
bandé à se rompre comme l'arc de Krishna le conducteur du char, dressé et
gonflé de sève tel Yggdrasil, l'arbre qui soutient les neufs mondes… Mes sens s'écroulent dans un abîme de sensations vertigineuses, le temps s'étire, infini, douloureux, puis s'arrête quand, une fois le lingam tout entier absorbé dans le fourreau chaleureux du yoni, le gland distendu, exacerbé par un plaisir insoutenable, bute contre le fond tiède et tendre de son ventre onctueux en atteignant sa fleur secrète... Ses yeux toujours fixés sur les miens deviennent vert profond, comme des lacs de montagne, couleur de l'insondable que reflètent ses pupilles dilatées. Miroir de mon âme, ils aspirent ma volonté, attisent, décuplent, mon désir d'elle…
Alors, enfouissant affectueusement sa tête dans mon cou, elle écrase sa
poitrine contre la mienne, enserrant mon buste de toute la puissance de
ses bras, appuie ses jambes nerveuses, denses, fermement contre mon dos,
ses pieds menus me forçant plus avant dans l'intimité de son être. Son corps ondule insensiblement, cherche sa place, s'incruste délicatement, s'insinue confortablement telle une chatte ronronnante, dans le mien. Sa
taille est si fine que mes mains en font presque le tour. Son ventre, dur
comme l'acier, est ardent comme un brasier de genêts en été. Sa peau,
souple comme un cuir sans prix, est aussi moelleuse que la fourrure d'une
zibeline. Ses seins, doux et tièdes comme deux colombes, battent doucement
contre mon torse au rythme de mon cœur. Ses cuisses embrasent mon dos. Son
haleine chaude, parfumée, grisante, envahit mes sens. Sa chevelure est
l'effleurement d'un ange sur mon épaule.... Son
être n'est plus qu'une douce, mais intense, insistante caresse, éminemment
sensuelle et voluptueuse sur mon corps devenu intégralement sexe... Elle
engage alors le rite amoureux, immobile, à l'aide des seuls mouvements
internes, réguliers, harmonieux, de son yoni, chaud, intime, sensuel,
entourant mon lingam exalté par cet étroit contact de la vigueur d'un
étau, soudé indissolublement au moindre repli de son sexe, pénétrant le
mien de ses muscles puissants. Elle nous emmène ainsi tous deux lentement, sur un rythme doux mais passionné, cadencé par le va et vient enjôleur, envoûtant, de son ventre brûlant soudé au mien, qui, embrasé par un feu aussi vif, vibre d'allégresse, elle nous conduit donc, avec une délicatesse infinie, une tendresse impensable, vers l'extase suprême, d'une volupté extrême, indicible, inexprimable, aussi silencieuse qu'elle est intense, d'une violence telle qu'elle me laisse pantelant... Un
temps de folie… Je la prends, Elle m'accepte, Je l'accepte, Elle me prend... Union Mystique... Joie... Un
temps de grâce... Elle
gémit faiblement sous le choc, ferme les yeux et ondoie telle une sirène
empalée sur l'arbre de vie. Son yoni, exigeant, appelle de ses mouvements
frénétiques la moindre goutte résiduelle du liquide vital, aidé par les
spasme incoercibles, effrénés, de mon ventre qui ne m'appartiens plus… Au même instant je me réveille à demi, brusquement, épuisé, étourdi par la violence des impressions subies, je sens, je suis mon sexe, brûlant, douloureux, prêt à éclater... Il explose avec force répandant à profusion sur mon ventre, ma poitrine, une semence chaude dense et odorante. Je
chavire, emporté par un sentiment de volupté absolue, de chaleur
incroyable, de jouissance sublime, qui m'envahit le corps et l'esprit,
immédiatement suivi d'une merveilleuse sensation de plénitude, de paix, de
quiétude, de repos... Je me rendors aussitôt, épuisé, apaisé. Dans mon sommeil retrouvé, elle est toujours là, légère comme une plume d'eider au moment de la couvée, détendue, reposée, lovée-blottie, presque endormie dans mes bras. La tête posée sur mon épaule, le visage enfoui dans mon cou, le corps abandonné contre le mien, alanguie telle une courtisane rassasiée. Ses mains fraîches, amicales, caressent agréablement ma nuque, les miennes, aimantes, palpent avec douceur tout son être. Elle exhale maintenant des senteurs fraîches, de lavande, de cèdre du liban, de citron vert, de fleurs printanières... Son
esprit, plein de curiosité, circule délicatement, tel une subtile brise
marine, dans les méandres du mien. Je regarde... une enfant "elfe-fée", déesse amoureuse et sans cœur, qui a peut-être plus de dix milles ans, qui a usé des centaines de vies en échange de merveilleux instants de félicité, émouvante, fragile comme un cristal de bohème, belle comme Iris, la messagère des dieux au voile d'arc-en-ciel ! Sa peau dorée est devenue translucide comme l'était son sexe au début de notre rencontre, ses cheveux soyeux autour de son visage lui confèrent une auréole d'innocence… Une tendresse immense, une reconnaissance infinie, physique, palpable, m'emplit à satiété d'amitié amoureuse envers elle… Sans mot dire, à fur et à mesure qu'augmentent ma tendresse et ma reconnaissance, son corps s'allège, se dissous, se fond, s'incorpore en moi, en douceur, comme un souffle léger, par une étreinte de plus en plus profonde, progressivement, insensiblement. Il ne reste au final que deux yeux immenses devenus vert tendre, presque transparents, qui me dévisagent intensément. "Fleur d'or, fille du Mystère" les ferme et disparaît intégralement mêlée en moi, enlacée étroitement à mes pensées, à mon souffle, à ma vie terrestre, à mon coeur que je lui offre volontiers pour remplacer le sien … Je
crois que l'échange est profitable, un instant d'extase quasi mystique
vaut bien mille ans de vie, les seuls mots qu'elle a prononcés sont justes
et véridiques: De la joie pure, un cadeau de la vie à la vie, comme dans les rituels érotiques tantriques, un moment de communion intime et intense avec la "Shakti" parèdre des dieux, Mère de tout ce qui vit, reflet féminin du pouvoir divin infini… J'ai le sentiment profond, absolu, que Gaïa la Grande Déesse Mère m'a donné une de ses émanations spirituelles, une "Fille Fleur Incube", en échange de mon cœur, en partage pour le temps qui me reste à vivre… Et cela est équitable ! |
![]() Il m'a donné en réponse l'hexagramme N° 28 : "Ta Kouo", "la Prépondérance du Grand", le Lac agité par le vent.
En
voici à peu près l'interprétation spirituelle : Je
dois dire que le sexe n'est pas ma préoccupation première. (En fait
vu mon âge, ma libido est plutôt affaiblie! Plus jeune, comme pour tous
les mâles du genre, c'était une autre histoire!) |
Quelques Clés : Il s'agit bien entendu d'une expérience
personnelle intraduisible avec des mots, d'ailleurs en relisant ces lignes
je ne perçois que faiblement l'impression extraordinaire qu'a laissé en
moi ce message oniro-physique impressionnant et un peu spécial...
Mais voici quelques éclaircissement sur les nombreux symboles ésotériques
qui m'ont submergé.
Les lieux symboliques.
L'Or est la révélation d'un mystère.
Symboles révélateurs.
Initiations.
Vie éternelle.
Masculin / Féminin.
Symboles divers. NB: Chaque fois que je suis impressionné par un rêve ou une vision qui semble peu explicite, après avoir transcris le plus précisément possible le rêve ou la vision, j'écris un conte ou un poème. Ceci bien sûr sans aucune prétention littéraire, il s'agit simplement d'en tirer des images "parlantes" en synthétisant au maximum mes sentiments et mes impressions. |
Lorsqu'un "Être", un "Paysage", un "Artefact", est "Beau",
d'une beauté qui n'est pas uniquement "matérielle",
pourquoi le désirer d'une passion exclusive ?
La concupiscence, la jalousie, l'envie,
sont des désastres de la vie !
La simple contemplation
de la beauté est déjà,
en soi, une "Joie".
"Regarde" bien,
tu "Es" alors
ce que tu
"Vois"
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CONTE ESOTERIQUE :
Il était une fois... Dans le pays fabuleux
d'Avallon, Ce n'était pas là un crapaud
ordinaire, Dans sa grande fureur, Vint à passer par là une Ondine
dorée. Par enchantement, D'un baiser magique, |
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Air.
Deux & Sept !
Louange, Amour & Gloire !
Bénie soit la Nostre Dame Blanche !
Victoire à la Lumière Resplendissante !
Gloire & Mercy à la Clarté Vivante de l'Aube Dorée qui illumine la voie !
Honneur & Révérence aux Maîtres visibles et invisibles !
Gloire & Louange aux Messagers du Haut Monde !
Soumission aux Principes Régisseurs !
Humilité, Vertu, Compassion !
Bénédiction ! Bénédiction ! Bénédiction !
Trois & Un !
Louange à Toi !
A tous Bénédiction, Paix et Salut !
Curieusement,
depuis ce moment,
je me surprend, parfois,
à croire à l'existence des fées...
Rappelle toi ami(e)! ce que tu désires est rarement ce que tu crois!
fouille bien au dedans de toi,
vérifie que l'objet, le but souhaité,
est issu d'une authentique volonté d'être plus et mieux,
et non de l'envie ou de la jalousie, ou encore de l'ambition égoïste.
Et quand auront été clairement distingués les tenants et les aboutissants,
alors seulement poursuis ton chemin vers tes objectifs,
en ayant la certitude de les atteindre!NB: du simple point de vue psychologique, ce rêve indique que la part masculine et la part féminine de mon être se sont mutuellement acceptées, complétées et intégrées ;-)